Contenu au stade expérimental et en cours de rédaction.
Le travail, du mot travalhum, vient de tripalium, un trépied instrument de torture. Mais le travail n'est pas condamné à être la torture de son origine étymologique.
Pour bon nombre d'entre nous, il nous apparait inévitable d'être dans sa nature et dans sa durée, répétitif, ennuyeux, et voleur de vie.
La vie nous parait vide et nous en sommes déçus quand nous sommes dévorées par un travail qui ne lui donne pas de sens.
Mais la société ne nous permet pas pour autant de réaliser notre véritable désir. Car cette insatisfaction qui pourrait nous amener à remettre en question cette vie-là et à en exiger une autre est canalisée par le système qui comble nos besoins intrinsèques ainsi que les besoins extrinsèques qu'ils génèrent, ce qui nous empêche par la même occasion de réaliser ce qui nous manque.
Là où le travail doit nous permettre de mettre au monde une création qui porte notre marque, de nous exprimer et de donner un sens collectif à nos vies.
Toutes les dimensions de la pénibilité de la tâche peuvent et doivent être effacées ou réduites. Les travaux épuisants sur le plan physique ou psychique, abrutissant ou abêtissant, trop durs, mécaniques, monotones, trop sales ou désagréables, trop dépourvus de signification, méprisants, etc.. Doivent être supprimés, remplacés, restreints, automatisés, améliorés, enrichis, compensés, récompensés, estimés ou mieux partagés.
L'idée même est de transformer la nature du travail pour qu'il devienne une activité qui serait quelque chose comme la réalisation de soi, la manifestation de son humanité profonde en harmonie avec la nature. C'est en cela que le travail deviendrait le "premier besoin de la vie". Ainsi l'expression "travailler pour gagner sa vie" ne signifierait plus subir la peine de travailler pour survivre et subvenir à ses besoins, mais bel et bien gagner sa vie.[1]
Nous allons ici démontrer que le modèle économique de la réciprocité permet de réduire considérablement le temps de travail nécessaire au bon fonctionnement de la société, jusqu'à atteindre un quota de 2h à 3h par personne.[2] L'économiste Keynes théorisait déjà en 1930 que les progrès technologique permettrait de réduire considérablement le temps de travail jusqu'à 15 heures par semaine.[3]
La productivité c'est le rapport entre la production et le nombre d'heures de travail qu'elle a nécessité pour être réalisée.
La productivité a connu une augmentation significative au cours des derniers siècles.
Tout d'abord avec l'arrivée de la révolution industrielle aux XVIIIe et XIXe siècles, qui a vu la mécanisation des processus de production et l'introduction de nouvelles technologies, telles que la vapeur et l'électricité.
Depuis lors, la productivité a continué de progresser à un rythme variable, mais en augmentant de manière continue à mesure que de nouvelles technologies et de nouveaux systèmes de production ont été développés.
Il peut être difficile de trouver des données fiables sur l'augmentation de la productivité en France remontant à plus de 100 ans. Les méthodes de mesure de la productivité ont évolué au fil du temps, ce qui peut rendre difficile la comparabilité des données sur de longues périodes.
Mais par exemple, entre 1950 et 2020, la productivité du travail en France a augmenté en moyenne d'environ 2% par an. Cela signifie qu'un travailleur moyen en France peut produire en une journée de travail environ 2 fois plus de biens et de services qu'en 1950.[4]
Pourtant sur cette même période la durée moyenne hebdomadaire de travail n'a pas diminué de 50%, mais de 12,5%, passant de 40 heures en 1950 à environ 35 heures en 2020.
Un choix de civilisation a été fait ici, utiliser les possibilités ouvertes par le développement prodigieux de la technique au cours des derniers siècles, non pour réduire le temps de travail, mais pour accroître toujours plus la production et les profits qui en découle.
Cela vient de la base même du capitalisme, la croissance dont dépend sa survie, le désir de profit de l'entrepreneur, et le désir d'accumulation du consommateur qui se conjugue par le toujours plus.
Il faut donc faire tourner l'appareil de production à plein rendement. L'objectif est de vendre toujours plus et de multiplier les occasions de profit.
Ce qui engendre un non-sens dans la façon de produire et de consommer les biens et les services.
Mais la réduction du temps de travail est l'ennemi de notre société, car le temps libre peut être utilisé pour discuter, pour s'organiser à la base et inventer des formes de vie collective. Le pouvoir ne trouve alors plus en face de lui des individus anonymes et isolés, prêts à l'acception, mais des groupes conscients, forts et plus difficiles à manipuler.
Alors qui dit diminution du temps de travail dit diminution de la production ? Et donc des conséquences catastrophiques sur notre qualité de vie ?
Non l'idée n'est aucunement de changer notre qualité de vie, au contraire elle est de continuellement l'augmenter pour l'ensemble de la population. Bien que la qualité de vie reste un concept tout à fait relatif aux moeurs individuelles et sociétales d'une époque. Nous allons démontrer qu'il est possible de faire des économies importantes qui sans touche à notre niveau de vie permettent de considérablement réduire la production et donc le temps de travail.
C'est la que l'on découvre la puissance de la réciprocité, une fois sortie du marché nous pouvons enfin efficacement imager des solutions de réduire le temps de travail sans que ceux si rentre en conflit avec notre économie.
Car les absurdités et les injustices que nous révélerons ne sont pas le résultat d'erreurs ou de maladresse, elles sont au contraire bien nécessaires à la survie du capitalisme.
Voici dans les points suivant les différentes solutions permettant de réduire le temps de travail global :
Il nous est difficile d'imaginer, comment en dehors de ce système de consommation qui nous en promet toujours plus, on pourrait obtenir ce plus qui donne à la vie sa couleur et son goût, tout comme ces objets qui assurent notre identité. Car c'est par l'intermédiaire des choses que nous possédons, des vêtements que nous portons, des lieux qui nous sont familiers, que nous nous sentons à la fois assez semblables aux autres pour qu'ils ne nous rejettent pas et suffisamment différents pour que nous ayons la certitude d'être nous-mêmes.
Mais limiter notre consommation permet de dévoiler notre désir d'aimer et de créer, de libérer le temps de vivre qui aujourd'hui nous fait tant défaut. Alors nous connaîtrons la joie de laisser couler la vie dont le murmure nous dit ce que nous sommes, la jouissance d'aimer quand rien ne presse, le plaisir de maîtriser une technique qui nous soit propre, de crée nous-mêmes des objets, et que nous les destinions à signer notre espace ou à être le don que nous réservons à ceux que nous aimons.
Cette vision nous permet de comprendre pourquoi l'idée de diminuer le temps de travail dans notre société rencontre une telle opposition, car libérer le temps qu'occupe le travail, c'est ouvrir une brèche dans le carcan où la société capitaliste a enserré notre vie.
La croissance est maintenue puisqu'elle ne peut jamais satisfaire des "besoins" sans cesse recréés à partir d'une inégalité qu'elle ne corrige pas.
Ces besoins sont des désirs de statut, d'appartenance, d'estime de soi, de pouvoir ou d'identification sociale. Ils sont créés par la publicité, le marketing et les pressions sociales.
La publicité vise à convaincre les consommateurs qu'ils ont besoin de certains produits ou services pour être heureux, satisfaits ou respectés dans la société. Ils utilisent des images ou des messages qui exploitent les émotions, les désirs et nos aspirations.
Par exemple pour ce qui est de la voiture, celle-ci permet de combler à un besoin d'autonomie personnel, mais aussi un besoin extrinsèque d'acquérir le prestige que lui confère la possession du dernier modèle ou du modèle haut de gamme.
L'entreprise automobile s'assure du profit et donc de sa survie par un produit toujours renouvelé en développant le désir du consommateur par des engins toujours plus sophistiqués et couteux, mais aussi par sa fragilité et donc son besoin d'être renouvelé.
Lorsqu'on met en regard les heures que la voiture permet de gagner et celles qu'on passe à travailler pour la payer, un travailleur consacre en moyenne chaque année pour son achat, son entretien, son fonctionnement et son assurance l'équivalent de 375h soit 2 mois de travail.
Les premières voitures pouvaient rouler 200 000 à 300 000 km, "le progrès" a en premier lieu considéré à faire des voitures plus fragiles. Car la croissance est à ce prix, mais au prix du consommateur, et le fabricant lui gagne des économies en rognant sur les cotes et la qualité des matériaux, un réalisant de gros bénéfices sur les pièces détachées et le renouvellement toujours plus rapide du matériel.
La voiture doit être conçue pour durer 20 ans même plus jusqu'à peut être même ça suppression, mais ce point sera abordé plus en profondeur dans le chapitre qui aborde les transports
Les monuments du passé, cathédrales et châteaux, nous donnent à voir les rapports sociaux et l'idéologie de leur temps. Nos monuments à nous, ce sont ces engins dont la complexité fantastique reflète l'entendu de nos connaissances scientifiques et de notre savoir-faire technologies, mais qui périmes dès leur naissance, et rejoindront la casse après quelques dizaines d'années. Les bâtiments et logements convenablement construits pourraient durer facilement plus d'un siècle.
Combien d'appareils ont du être réparés, souvent peut de temps après leur achat, où que cette réparation s'annonce bien trop souvent difficile où trop cher, et amène donc à le jeter et à le remplacer par un autre.
Les premiers bas étaient inusables, désormais ils sont trempés après fabrication dans un bain d'acide destiné à en diminuer la solidité. La firme qui a inventé les tubes fluorescents ne les a mis sur le marché qu'après avoir découvert comment réduire à 1 000 heures leur durée de fonctionnement. La qualité des lames de rasoir est prévue pour s'émousser. Les ampoules électriques sont actuellement survoltées pour ne durer que 1000 heures. Les mêmes ampoules pourraient durer 3000 heures.
La plupart des appareils ménagers pourraient durer 30 ans.
La détérioration de la qualité des objets est une évidence, mais c'est un secret bien garder par les industrielles et difficile à prouver. Seuls les industriels savent combien il leur couterait en plus de fabriquer des objets qui dureraient 2 à 3 fois plus de temps.
Tel est le paradoxe, un produit trop durable ne peut pas être rentable sur le long terme dans une logique de marché qui vise le profit monétaire, mais l'est dans une logique de réciprocité qui vise à travailler moins.
Dans notre société nous produisons beaucoup plus que ce dont nous avons réellement besoin, entraînant ainsi une utilisation inefficace des ressources naturelles et une accumulation de déchets.
Gaspillage alimentaire : Selon la FAO, environ un tiers de la nourriture produite dans le monde est perdue ou gaspillée chaque année. Cela peut être dû à une surproduction, une mauvaise gestion de la chaîne d'approvisionnement, des normes esthétiques strictes, ou encore à des comportements de consommation telles que l'achat impulsif ou la surconsommation.
Gaspillage d'énergie : Nous avons tendance à consommer plus d'énergie que nécessaire pour nos besoins quotidiens. Par exemple, en laissant des appareils électroniques en veille, en utilisant des modes de transport inefficaces ou en laissant des lumières allumées inutilement.
Gaspillage de matériaux : Notre société produit souvent des biens à usage unique ou de faible qualité qui sont rapidement jetés ou remplacés, plutôt que de privilégier des biens durables et facilement réparables. Cela entraîne une utilisation inefficace des ressources naturelles et une accumulation de déchets.
En partageant des biens, les individus peuvent réduire leur consommation et donc leur production, car ils n'ont pas besoin d'acheter autant d'objets pour répondre à leurs besoins. Par exemple, plusieurs personnes peuvent se partager une perceuse plutôt que chacun en acheter une pour une utilisation occasionnelle. Ce qui réduit donc la production de perceuses
90% des voitures sont immobile, il faut mutualiser pour moins produire.
De plus lorsque les biens sont partagés, ils ont tendance à être mieux utilisés, mieux entretenus, ce qui prolonge la durée de vie des objets, et donc de nouvelle production. Quand les gens sont copropriétaires, y a 30% de dégât en moins.
Le progrès technique est souvent associé à l'augmentation de la productivité, car il permet de produire plus de biens ou de services avec moins de ressources, de temps et d'efforts. Les avancées technologiques ont déjà amélioré l'efficacité et la qualité de nos processus de production, et contribué à réduire les coûts de production.
Une 4e révolution industrielle est en marche, celle de l'intelligence artificielle, l'Internet des objets, la robotique avancée, la réalité augmentée, la blockchain, la nanotechnologie et la biotechnologie. Et ces technologiques vont véritablement transformer de mode de production.
Il faut cependant faire attention à ce que l'utilisation des progrès technique n'ai pas de conséquences sur l'Impact Environnement Humain et le Bonheur Intérieur Brut, celui-ci doit toujours contribuer à un développement durable et équitable.
Chaque travail, même le plus simple, requiert un minimum de formation, d’entraînement et de métier. Au fur et à mesure que la durée du travail baisse, la productivité ne peut aller en augmentant que jusqu'à un certain point, et au-delà elle décroît à nouveau.
Car plus on maîtrise plus on est productif, mais plus longtemps on travail plus on peut être fatigué et donc moins productif.
Et il est possible que pour beaucoup d'occupation qui demande du savoir-faire ce point soit dépassé avec les " 2 à 3 heures par jour ", c'est pour ca que ces 2 à 3 heures par jour ne doivent pas être pris au pied de la lettre. Le travail de chacun peut s'organiser en période plus chargée en travail et d'autres qui le sont moins ou qui en devienne totalement libre.
Par exemple 3 journées de 8heures chaque semaine pendant 2 ans peuvent ensuite laisser la place à 3 années de libres.
Dans notre société actuelle il existe comme dans toute société des métiers déplaisants et d'autres qui sont agréables, en général les tâches pénibles et ennuyeuses sont mal payées et peu prestigieuses, et les activités les plus rémunératrices sont en général les plus socialement bien considérées et intéressantes pour ceux qui les font.
On peut distinguer 2 types de travail.
Le travail pénible et ennuyeux qui demeure nécessaire pour faire fonctionner la société dans son ensemble que l'on nommera "Travail lié"
Et le travail libre qui a un sens pour celui qui le fait, émane d'une activité créatrice qui trouve en elle-même sa justification, bien sûr celui-ci peut être subjectif et propre à chacun.
On ne parle cependant ici que du travail de notre société qui est marchandisé, en réalité 3/4 du travail fait dans notre société capitaliste échappe à l'économie de marché.
Avec plus de temps et une meilleure société nous pouvons nous appuyer sur un réseau d'entraide pour discuter et résoudre nos problèmes de tous les jours, discuter de nos alimentations, de nos vies sexuelles, de nos angoisses devant la vie, tout comme ça commence déjà à se faire à grande échelle sur de grands groupes Facebook.
Les appareils pourraient être conçus pour être maitrisables par les utilisateurs, avec une facilité de montage et de démontage avec des outils standardisé, changer les modèles quand de réels progrès techniques l'imposent, tout en garantissant de fournir des pièces détachées à des prix raisonnables sur de très longues durées, mettre à disposition des clients des notices descriptives détaillées et claires, constituer des ateliers locaux de montage et de réparation où on pourrait trouver l'outillage nécessaire et échanger aide et expérience acquise
Aménagement des logements peut être effectué par leurs occupants. Ce qui est aujourd'hui une charge insupportable, construire son logement avec un si lourd horaires de travail. Cette activité pourrait pourtant avec l'entraide de la communauté devenir un acte créateur, assez plaisant.
L'enseignement pourrait ne pas rester le monopole d'un corps professionnel, mais être au contraire plus souples et la fonction d'enseignent pourrait être plus largement partagée, et toute personne qui a des connaissances à offrir pourrait être encouragée à aidé sur le plan pédagogique
En faite une grande partie du travail accompli par le personnel de certaines professions pour être accompli par d'autre et devenir du travail libre dans notre Eutopie, et ainsi soulager ces professions.
Le chapitre suivant abordera la réorganisation du travail, c'est-à-dire les modes d'organisation des entreprises de notre Eutopie.
Celle-ci par leur horizontalité supprimera une certaine hiérarchie qui réalise un travail de gestion et de prise de décision. Ceux-ci n'auraient plus lieu d'être puisque ce travail sera maintenant réalisé collaborativement par l'ensemble des coopérateurs d'une entreprise.
Dans notre Eutopie beaucoup de métier serait supprimé, car ceux-ci sont en réalité le produit de dysfonctionnements dans la société actuelle et ils n'auraient alors plus lieu d'être.
Noté qu'il faut prendre en compte la liste des nouveaux métiers qui seront créés, ainsi que tous les métiers qui seront transformés avec une approche plus durable et éthique. Une liste complète des métiers supprimés de l'Eutopie est disponibles dans le chapitre Résumé des professions.
Dans un pays comme la Belgique le taux de chômage est actuellement de 5,5%. En prenant en compte la population active totale en Belgique de 5,8 millions de personnes selon les données d'Eurostat pour 2021, cela représente environ 319 000 personnes sans emploi.[7]
Dans Eutopia comme il n'y a pas d'emploi à proprement parler, l'effet de la disparition du salariat s'accompagne de la disparition du chômage.
Elle construit une inclusion sociale et une société ouverte, où chaque nouveau membre sera le bienvenu pour ses compétences et ses savoirs quels qu'ils soient afin de contribuer à la société et à diminuer le temps de travail global de tous.
La société procède par l'exclusion de la vie active de toute une série de personnes.
Notamment les personnes porteuses d'un handicap, ca peut-être par discrimination, stigmatisation, par manque d'accessibilité, manque de soutien.
Pour les systèmes disposant d'une sécurité sociale, c'est souvent tout ou rien, comme la majorité des emploies proposé ne sont pas adapté, c'est souvent préférable pour eux de continuer de percevoir leurs aides, que de faire un travaille aliénant, non adapter, pas valorisant, au risque de se voir retirer ses aides.
Les qualifications générales de la population pourraient aussi considérablement augmenter. Avec la possibilité pour tous de pouvoir devenir ce qu'il souhaite en le lui offrant les moyens par les méthodes qui lui convient, ce taux de qualifications, par le plaisir même de se développer, serait bien plus élevé.
On peut également rajouté les personnes âgées qui sont exclue du marché une fois la retraite, qui sont discriminés, comme-ci il n'avait plus rien à apporter.
On ne parle pas ici d'exploité les minorités, mais bien de les inclure dans la société en leur donnant la possibilité d’intégrer ces espaces sociaux, il s'agit de leur offrir un travail adapté, valorisant, qu'ils aiment et peuvent s'approprier, et aux nombres d'heures qui leur conviennent.
Selon une étude réalisée en 2020 par le groupe de conseil en gestion Mercer sur les employés européens, environ 33% des travailleurs européens ont déclaré avoir pris un congé maladie pour des raisons liées au stress ou à la santé mentale.[6:1] De plus, une enquête menée par la Commission européenne en 2018 a révélé que le burnout était présent chez 28% des travailleurs de l'UE.[8]
En cours de rédaction...
Adret. Travailler deux heures par jour. 1977 ↩︎
Keynes. J. Lettre à nos petits-enfants. Essai sur l'avenir du capitalisme. 1930. ↩︎
Etude Mercer Marsh Benefits - Baromètre de l’absentéisme ↩︎ ↩︎
OMMUNICATION DE LA COMMISSION AU PARLEMENT EUROPÉEN, AU CONSEIL, AU COMITÉ ÉCONOMIQUE ET SOCIAL EUROPÉEN ET AU COMITÉ DES RÉGIONS sur une approche globale en matière de santé mentale ↩︎